Nouveau look pour les fiches du Club de lecture rédigées après notre rencontre
samedi 22 septembre 2018
lundi 17 septembre 2018
dimanche 9 septembre 2018
Atelier d'écriture
ATELIER d'ECRITURE le samedi 15 septembre 2018
Reprise de l'atelier ce samedi 15 septembre de 10h00 à 12h30 au local Chemin de la prée (à droite du cinéma)
L'atelier propose des écritures simples, en jouant avec les mots, à partir de propositions variées...
Essai possible avant de s'engager pour de nouvelles personnes intéressées
Club de lecture
Club de Lecture du 14 septembre 2018
Rendez-vous à 20h30 au local Chemin de la prée (à droite du cinéma)Liste des livres autour desquels nous débattrons :
Le jour du chien de BAUWEN P.
Hôtel du grand cerf de BARTELT F.
Bondrée de MICHAUD A.
Le jour où je suis mort autrefois de HIGASHINO K.
3 jours et 1 vie de LEMAITRE P.
mardi 28 août 2018
FÊTE DES ASSOCIATIONS
L'association APACh tiendra un stand à la fête des associations
le 8 septembre 2018,
Salle Catherine Destivelle
à BLAIN

À bientôt,
jeudi 26 juillet 2018
dimanche 17 juin 2018
Atelier d'écriture
Cette année a été enrichie du partenariat avec le Club photo de Blain. Textes et clichés se sont échangés, "appuyés" les uns aux autres, jusqu'à la rencontre finale entre les auteurs, agréable, drôle et parfois surprenante.
Vous pourrez également nous rencontrer lors de la fête des associations qui se déroulera à Blain le samedi 8 septembre.

Le dernier atelier d'écriture de l'année 2017/2018 s'est tenu en plein air au Clos des Bourraches, jardin partagé entretenu par un groupe de bénévoles du Centre Socio-Culturel Tempo.
Après la pause estivale, les ateliers reprendront à la rentrée, le samedi 15 septembre.
Pour rejoindre cet atelier, ou demander des renseignements, il suffit de nous écrire :
Vous pourrez également nous rencontrer lors de la fête des associations qui se déroulera à Blain le samedi 8 septembre.
jeudi 26 avril 2018
CLUB LECTURE DU 20 AVRIL
Station
eleven
Emily
St John Mandel
Résumé
:
Une pandémie foudroyante a décimé
la civilisation. Une troupe d’acteurs et de musiciens nomadise
entre de petites communautés de survivants pour leur jouer du
Shakespeare. Ce répertoire classique en est venu à représenter
l’espoir et l’humanité au milieu des étendues dépeuplées de
l’Amérique du Nord.
Centré sur la pandémie mais s’étendant sur plusieurs décennies avant et après, Station Eleven entrelace les destinées de plusieurs personnages dont les existences ont été liées à celle d’un acteur connu, décédé sur scène la veille du cataclysme en jouant Le Roi Lear. Un mystérieux illustré, Station Eleven, étrangement prémonitoire, apparaît comme un fil conducteur entre eux…
Centré sur la pandémie mais s’étendant sur plusieurs décennies avant et après, Station Eleven entrelace les destinées de plusieurs personnages dont les existences ont été liées à celle d’un acteur connu, décédé sur scène la veille du cataclysme en jouant Le Roi Lear. Un mystérieux illustré, Station Eleven, étrangement prémonitoire, apparaît comme un fil conducteur entre eux…
C'est
un roman d'anticipation. Il y est question d'un réapprentissage de
gestes ancestraux, de groupes d'humains qui se réorganisent, de la
vie sans la modernité.
Les
avis sont partagés parmi les lecteurs, même si une seule personne a
abandonné la lecture de ce roman. De l'intérêt, des points
d'accroche (la mise en équipe de la représentation théâtrale,
l'orchestre, Shakespeare…) avec la démonstration qu'il ne reste
que la culture à partager et la liberté de pensée grâce à cette
culture.
Mais
aussi de la frustration, les histoires sont survolées, de belles
idées pas assez exploitées, l'envie que les choses soient plus
développées, décrites.
La
lecture est fluide, facile et le roman bien ficelé.
Intérêt
Un
paquebot dans les arbres
Valentine
Goby
Résumé
:
Au milieu des années 1950, Mathilde sort à peine de l’enfance quand la tuberculose envoie son père et, plus tard, sa mère au sanatorium d’Aincourt. Cafetiers de La Roche-Guyon, ils ont été le cœur battant de ce village des boucles de la Seine, à une cinquantaine de kilomètres de Paris.
Doué pour le bonheur mais totalement imprévoyant, ce couple aimant est ruiné par les soins tandis que le placement des enfants fait voler la famille en éclats, l’entraînant dans la spirale de la dépossession.
En ce début des Trente Glorieuses au nom parfois trompeur, la Sécurité sociale protège presque exclusivement les salariés.
À l’âge où les reflets changeants du fleuve, la conquête des bois et l’insatiable désir d’être aimée par son père auraient pu être ses seules obsessions, Mathilde lutte sans relâche pour réunir cette famille en détresse, et préserver la dignité de ses parents, retirés dans ce sanatorium – modèle architectural des années 1930 –, ce grand paquebot blanc niché au milieu des arbres.
Au milieu des années 1950, Mathilde sort à peine de l’enfance quand la tuberculose envoie son père et, plus tard, sa mère au sanatorium d’Aincourt. Cafetiers de La Roche-Guyon, ils ont été le cœur battant de ce village des boucles de la Seine, à une cinquantaine de kilomètres de Paris.
Doué pour le bonheur mais totalement imprévoyant, ce couple aimant est ruiné par les soins tandis que le placement des enfants fait voler la famille en éclats, l’entraînant dans la spirale de la dépossession.
En ce début des Trente Glorieuses au nom parfois trompeur, la Sécurité sociale protège presque exclusivement les salariés.
À l’âge où les reflets changeants du fleuve, la conquête des bois et l’insatiable désir d’être aimée par son père auraient pu être ses seules obsessions, Mathilde lutte sans relâche pour réunir cette famille en détresse, et préserver la dignité de ses parents, retirés dans ce sanatorium – modèle architectural des années 1930 –, ce grand paquebot blanc niché au milieu des arbres.
Roman
émouvant, triste si on se place selon le point de vue des parents,
optimiste si l'on s'attache plutôt à Mathilde qui vit une descente
aux enfers certes mais suivie d'une remontée vers sa vie.
Ce
roman nous éclaire sur une époque pas si éloignée, que certains
ont connue et nous fait prendre conscience de l'évolution des
50 dernières années.
Nous
avons bien accroché à la lecture et le recommandons.
Écriture
et intérêt :
Tom,
petit Tom, tout petit homme, Tom
Barbara
Constantine
Résumé
Tom
a onze ans.
Il vit dans un vieux mobil-home déglingué avec Joss, sa mère (plutôt jeune : elle l'a eu à treize ans et demi). Comme Joss aime beaucoup sortir tard le soir, tomber amoureuse et partir en week-end avec ses copains, Tom se retrouve souvent tout seul. Et il doit se débrouiller. Pour manger, il va dans les potagers de ses voisins, pique leurs carottes, leurs pommes de terre...
Mais comme il a très peur de se faire prendre et d'être envoyé à la Ddass (c'est Joss qui lui a dit que ça pouvait arriver et qu'elle ne pourrait rien faire pour le récupérer), il fait très attention, efface soigneusement les traces de son passage, replante derrière lui, brouille les pistes.
Un soir, en cherchant un nouveau jardin où faire ses courses, il tombe sur Madeleine (quatre-vingt-treize ans), couchée par terre au milieu de ses choux, en train de pleurer, toute seule, sans pouvoir se relever. Elle serait certainement morte, la pauvre vieille, si le petit Tom (petit homme) n'était pas passé par là...
Il vit dans un vieux mobil-home déglingué avec Joss, sa mère (plutôt jeune : elle l'a eu à treize ans et demi). Comme Joss aime beaucoup sortir tard le soir, tomber amoureuse et partir en week-end avec ses copains, Tom se retrouve souvent tout seul. Et il doit se débrouiller. Pour manger, il va dans les potagers de ses voisins, pique leurs carottes, leurs pommes de terre...
Mais comme il a très peur de se faire prendre et d'être envoyé à la Ddass (c'est Joss qui lui a dit que ça pouvait arriver et qu'elle ne pourrait rien faire pour le récupérer), il fait très attention, efface soigneusement les traces de son passage, replante derrière lui, brouille les pistes.
Un soir, en cherchant un nouveau jardin où faire ses courses, il tombe sur Madeleine (quatre-vingt-treize ans), couchée par terre au milieu de ses choux, en train de pleurer, toute seule, sans pouvoir se relever. Elle serait certainement morte, la pauvre vieille, si le petit Tom (petit homme) n'était pas passé par là...
Un
petit roman rafraîchissant, pour se sentir bien, à lire en vacances
ou par un dimanche pluvieux, un « feel good novel » !
Une
histoire intergénérationnelle, de bons sentiments humains,
agréable. 2 personnes l'ont trouvé «mignonnet» ; ça
dégouline un peu mais on ne le lâche pas !
Écriture et intérêt :
L'enfant
qui mesurait le monde
Metin
Arditi
Résumé
:
À Kalamaki, île grecque dévastée
par la crise, trois personnages vivent l'un près de l'autre, chacun
perdu au fond de sa solitude.
Le petit Yannis, muré dans son silence, mesure mille choses, compare les chiffres à ceux de la veille et calcule l'ordre du monde. Maraki, sa mère, se lève aux aurores et gagne sa vie en pêchant à la palangre. Eliot, architecte retraité qui a perdu sa fille, poursuit l'étude qu'elle avait entreprise, parcourt la Grèce à la recherche du Nombre d'Or, raconte à Yannis les grands mythes de l'Antiquité, la vie des dieux, leurs passions et leurs forfaits...
Un projet d'hôtel va mettre la population en émoi. Ne vaudrait-il pas mieux construire une école, sorte de phalanstère qui réunirait de brillants sujets et les préparerait à diriger le monde ?
Alors que l'île s'interroge, d'autres rapports se dessinent entre ces trois personnages, grâce à l'amitié bouleversante qui s'installe entre l'enfant autiste et l'homme vieillissant.
Le petit Yannis, muré dans son silence, mesure mille choses, compare les chiffres à ceux de la veille et calcule l'ordre du monde. Maraki, sa mère, se lève aux aurores et gagne sa vie en pêchant à la palangre. Eliot, architecte retraité qui a perdu sa fille, poursuit l'étude qu'elle avait entreprise, parcourt la Grèce à la recherche du Nombre d'Or, raconte à Yannis les grands mythes de l'Antiquité, la vie des dieux, leurs passions et leurs forfaits...
Un projet d'hôtel va mettre la population en émoi. Ne vaudrait-il pas mieux construire une école, sorte de phalanstère qui réunirait de brillants sujets et les préparerait à diriger le monde ?
Alors que l'île s'interroge, d'autres rapports se dessinent entre ces trois personnages, grâce à l'amitié bouleversante qui s'installe entre l'enfant autiste et l'homme vieillissant.
Très
beau roman qui fourmille de plein de choses : île grecque,
culture, autisme vu sous un angle positif, un pope influant,
philosophie sur le deuil, de la solidarité, des grands projets sur
l'île désertée par la crise.
On
y lit la confrontation entre 2 visions du monde, l'ancien (grec) avec
un projet d'école, et le nouveau avec un grand projet touristique.
Comment
un maire de bonne foi peut se laisser influencer pour le « bien »
de sa commune.
Histoire qui finit bien...
Écriture
et intérêt :
mercredi 25 avril 2018
dimanche 15 avril 2018
CLUB LECTURE
Vendredi 20 avril à 20 h 30
ATTENTION, changement de lieu :
1 chemin de la prée,
BLAIN
à droite du cinéma St Laurent
Ouvert à toute personne intéressée
Livres sur lesquels nous échangerons :
- Tom, petit Tom, tout petit homme, Tom Barbara Constantine
- Un paquebot dans les arbres Valentine Goby
- L'enfant qui mesurait le monde Metin Arditi
- Station eleven de Emily John Mendel
lundi 5 mars 2018
samedi 3 mars 2018
LETTRE OUVERTE
La
centenaire se rebiffe !
La
période n’est pas très bonne pour les personnes âgées souvent
malmenées. C’est ce qui arrive aujourd’hui à l’association
plus que centenaire Les
Amis du Puits au Chat, qui épaule la lecture publique à Blain
auprès de la médiathèque.
Il
est utile de rappeler que depuis 1911 cette association a maintenu
une bibliothèque pour que la lecture publique existe sur Blain.
L’association qui s’appelait Bibliothèque populaire du
canton de Blain s’est
nommée Le Puits au Chat ,
(lieu-dit de la forêt du Gâvre) à l’occasion de ses 80
ans. Par la volonté, l’action et
l’engagement de l’association, la bibliothèque est municipalisée
en 2001, et une convention est signée. Le projet de médiathèque se
concrétise. Elle ouvre en 2009, l’association prend alors le nom
d’association des Amis du Puits au Chat (APACh).
En concertation avec la municipalité, l’action de l’association
évolue essentiellement sur l’animation autour du livre.
Fin
février 2018, la convention est arrivée à échéance. Au printemps
2017, en prévision de son
renouvellement, la municipalité propose juste quelques précisions
au texte initial. Puis en juin, l’association renvoie « ses
remarques et suggestions ». En décembre, sans retour des
services municipaux,
le maire nous apprend de façon abrupte que la convention ne sera pas
reconduite ! Pour quelles raisons ?...
Il
en résulte que l’association n’aura plus accès à la
médiathèque, sans la présence de salariés. Elle n’aura plus le
droit d’utiliser de salle à l’étage,
espace pourtant prévu pour elle lors de la
construction de la médiathèque.
Cette
décision municipale a de nombreuses conséquences ; elle
annule ou perturbe fortement les animations :
accueil d’auteurs, atelier d’écriture, club de lecture, coup de
cœur des lecteurs, printemps des poètes…
Totale
incompréhension de notre part. Y avait-il des problèmes ?
Si oui, pourquoi n’ont-ils pas été évoqués lors des
réunions tripartites régulières (salariés, bénévoles,
municipalité) menées pour fonctionner ensemble, élaborer des
projets en partenariat. Rien dans ces réunions n’a été dit sur
un éventuel dysfonctionnement. Des rencontres régulières avec
l’élu à la
culture, au contraire, nous confortaient dans notre légitimité.
On
nous propose une autre salle. Quel sens cela a-t-il de fonctionner en
dehors de la médiathèque, espace dédié aux livres et à la
culture ?
Pourquoi
une telle défiance vis-à-vis des bénévoles ? Les membres de
l’association dénoncent la démarche et regrettent cet état de
fait.
Pourtant
M. le Maire déclare dans le bulletin « Blain, passionnément »
de janvier 2018, tenir ses
engagements : « … en soutenant les
manifestations associatives qui contribuent très
largement à la notoriété et la dynamique événementielle de notre
ville, … en valorisant le patrimoine existant et les
initiatives culturelles et artistiques, … en
récompensant l'engagement des bénévoles
dans leur implication quasi quotidienne au sein de leur association.
Tout ceci dans un esprit de collaboration participative »,
valeurs également rappelées lors du dernier conseil municipal.
Que
devons-nous, associations et bénévoles, tirer de ce grand écart
entre mots et faits ?
amisdupuits@gmail.com
/ amispuitschat.blogspot.com
dimanche 18 février 2018
Ce vendredi 16 février, la soirée avec Éléna Piacentini a rassemblé 26 personnes.
L'auteure lilloise de romans policiers a ravi un public attentif et curieux, en expliquant comment les faits d'actualité nourrissent les sujets de ses polars. Elle s'attache particulièrement aux relations humaines et aux capacités d'empathie de ses personnages pour bâtir des histoires qui traversent les époques et les lieux. Sans oublier les références à sa Corse natale...
Ce moment simple et convivial, suivi d'une vente-dédicace a été très apprécié !
dimanche 28 janvier 2018
ACCUEIL d'AUTEUR
L'association vous invite à une rencontre avec Elena Piacentini ; ses romans policiers sont disponibles au prêt sur la table filante à la médiathèque de Blain.
Plus d'informations sur cette auteure sur le site
https://www.babelio.com/auteur/Elena-Piacentini/154385
samedi 20 janvier 2018
ASSEMBLÉE GÉNÉRALE de l'association
Samedi 27 janvier 2018
de 10 h à 12 h
à la médiathèque
Les activités réalisées en 2017 vous seront présentées ainsi que le rapport financier.
Les projets pour 2018 seront évoqués, dans un contexte où les conditions du renouvellement de la Convention liant l'association à la mairie ne sont pas connues à ce jour.
Les adhérent(e)s et toutes les personnes intéressées par les activités des A.P.A.Ch
sont invitées. Il sera possible (mais non obligatoire !) de rejoindre
l'association ou le Conseil d'Administration à cette occasion.
mercredi 17 janvier 2018
CLUB LECTURE du 12 Janvier 2018

L'enfant qui
Jeanne Benameur
Résumé
:
Dans l'absence laissée par la
disparition inexpliquée de sa mère, un enfant, son père et sa
grand-mère partent chacun à la reconquête de leur place et de leur
présence au monde.
Il y a eu de la déception à la lecture de ce livre, l'impression d'un "abus" du style habituel de l'auteure qui s'est révélé pesant sur ce roman. L'histoire est déconcertante, le sujet triste et lourd.
Cependant, quelques très beaux moments, des passages poétiques intéressants sur la vie intérieure des personnages. On attend que quelque chose se fasse.
Dans les dernières lignes, un texte fort quant à la relation mère-enfant.
Histoire et écriture :
Quelques jours dans la vie de Tomas Kusar
Antoine Choplin
Résumé
:
Quelques jours dans la vie de Tomas
Kusar ou comment un jeune cheminot de Trutnov (Tchécoslovaquie)
croise sur son chemin Vaclav Havel, comment une amitié se noue entre
les deux hommes entre parties d'échecs et bières partagées
jusqu'au balcon du Château, place Venceslas, à Prague...
Ce livre a porté les lecteurs qui ont aimé une écriture simple et fluide, un texte doux et poétique, qui permet de voir, de ressentir, et qui ont pris du plaisir à le lire. L'auteur part de faits réels, construit un roman en restant toujours dans le vrai. Beaucoup d'humanité dans les personnages, une ouverture de l'un vers l'autre, un contraste entre un régime policier qui épie et la bienveillance entre Vaclav, Olga, et Tomas, entre des situations violentes et une relation (au sens de relater) apaisée.
Histoire et écriture :
Maryam Madjidi
Résumé
:
Depuis le ventre de sa mère,
Maryam vit de front les premières heures de la révolution
iranienne. Six ans plus tard, elle rejoint avec sa mère son père en
exil à Paris.
À travers les souvenirs de ses premières années, Maryam raconte l’abandon du pays, l’éloignement de sa famille, la perte de ses jouets – donnés aux enfants de Téhéran sous l’injonction de ses parents communistes -, l’effacement progressif du persan, qu’elle va tour à tour rejeter, puis adopter frénétiquement, au point de laisser enterrée de longues années sa langue natale.
À travers les souvenirs de ses premières années, Maryam raconte l’abandon du pays, l’éloignement de sa famille, la perte de ses jouets – donnés aux enfants de Téhéran sous l’injonction de ses parents communistes -, l’effacement progressif du persan, qu’elle va tour à tour rejeter, puis adopter frénétiquement, au point de laisser enterrée de longues années sa langue natale.
Ce premier roman est aussi un récit. De lecture facile, même si l'écriture déstabilise parfois, le sujet sur la difficulté d'intégration, reste d'actualité. L'auteure réussit à faire comprendre la vie de l'exilé, ce qu'il faut abandonner pour s'intégrer et avancer, le fait de n'être chez soi nulle part.L'écriture évolue en même temps que le personnage, de l'enfance à l'âge adulte. De beaux passages.
Histoire et écriture :
La porte
Magda Sazbo
Résumé
:
«
C’est moi qui ai tué Emerence. Je voulais la sauver, non la
détruire, mais cela n’y change rien. »
La Porte est une confession. La narratrice y retrace sa relation avec Emerence Szeredás, qui fut sa domestique pendant vingt ans. Tous les oppose : l’une est jeune, l’autre âgée ; l’une sait à peine lire, l’autre ne vit que par les mots ; l’une est forte tête mais d’une humilité rare, l’autre a l’orgueil de l’intellectuelle. Emerence revendique farouchement sa liberté, ses silences, sa solitude, et refuse à quiconque l’accès à son domicile.
Quels secrets se cachent derrière la porte ?
La Porte est une confession. La narratrice y retrace sa relation avec Emerence Szeredás, qui fut sa domestique pendant vingt ans. Tous les oppose : l’une est jeune, l’autre âgée ; l’une sait à peine lire, l’autre ne vit que par les mots ; l’une est forte tête mais d’une humilité rare, l’autre a l’orgueil de l’intellectuelle. Emerence revendique farouchement sa liberté, ses silences, sa solitude, et refuse à quiconque l’accès à son domicile.
Quels secrets se cachent derrière la porte ?
Portrait d'un personnage très particulier, lecture facile.
Roman difficile à raconter mais à lire !!!
Histoire :
Écriture :
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